Endossements de la tournée canadienne de Mère Agnès

Très peu de personnes savent vraiment ce qui se passe localement en Syrie, possèdent le courage de promouvoir le rapprochement des factions adversaires et ont la volonté d’exposer ouvertement les faits autant que Mère Agnès. Malgré la profusion des récits controuvés, les rapports des médias partisans et les principes emportés par des intérêts géopolitiques, son conte est indispensable pour connaître la vérité.

-Atif Kubursi, professeur émérite, Université McMaster et ancien Secrétaire exécutif de la Commission économique et sociale des Nations Unies pour l’Asie occidentale.

Félicitations pour avoir invité Mère Mariam-Agnès et d’avoir organisé sa tournée. On a étouffé son récit, ignoré sa personne et fait fi de ses propositions pour la paix au nom des intérêts impériaux des États-Unis, du Canada et de l’Europe, les mêmes puissances qui aimeraient bombarder la Syrie pour ramener le pays au Moyen-Âge comme elles l’ont fait en Libye.

-Robin Philpot, auteur de Ça ne s’est pas passé comme ça à Kigali et éditeur de Baraka Books

Les artisans de paix sont trop peu nombreux dans le monde. Car pour faire la paix, il faut avoir le courage de parler et de négocier avec ses adversaires comme avec TOUS les belligérants en présence. C’est beaucoup plus difficile que de tirer sur ses ennemis. Surtout que le combat pour la paix se fait sans armes. Mère Agnès Mariam est une artisane de paix. Au milieu de la folie de la guerre en Syrie, elle est assez “folle” pour croire à la possibilité de la réconciliation et de la paix. Choisissons notre folie: travaillons ensemble pour la folie de la paix. En Syrie comme ailleurs!

-Dominique Boisvert, Montréal, juriste, auteur et militant pour la paix et la nonviolence